MST : quelles sont-elles ?
Parmi les infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes, on peut citer la blennorragie gonococcique, les chlamydioses, l'hépatite B, les condylomes génitaux, la syphilis, les infections par des mycoplasmes et la trichomonase, ou encore le VIH-Sida. Mais la liste est bien plus longue puisque près d’une trentaine de MST sont actuellement recensées. Elles sont toutes causées par des agents infectieux de type virus, bactéries ou parasites.
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Sexe : tester la sodomie à 50 ansMST : quels facteurs de risque ?
La contraction d’une MST peut résulter d’une pratique sexuelle à risque, avec pénétration vaginale, orale ou anale. C’est d’ailleurs le mode de transmission le plus courant pour ce type d’infection. En cela, la sodomie représente un facteur de risque supplémentaire, car elle constitue une source de contamination infectieuse accrue. En effet, la sexualité anale, qui plus est avec un sex toy de type plug anal, est susceptible de créer des microtraumatismes ou des déchirures, qui constituent alors une porte d’entrée à la prolifération bactérienne.
MST : quels moyens de prévention ?
Le port du préservatif représente la mesure de prévention la plus efficace, pour éviter la transmission des infections sexuellement transmissibles. En outre, le dépistage précoce des MST est également un excellent moyen de ralentir la propagation de ces infections. Pour les patients, celui-ci permet par ailleurs de bénéficier d’une prise en charge médicale efficace et adaptée.
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