Une frénésie d’achats
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Lorsque l’on vit une dépression, on peut avoir envie de se faire plaisir et d’adoucir sa vie en s’offrant de nombreuses choses, comme des vêtements, de la décoration pour son logement, ou encore des appareils électroniques. Faire des achats compulsifs permet de se distraire l’esprit, mais aussi de se faire du bien. Attention toutefois à ne pas vivre au-dessus de vos moyens, et à ne pas substituer cette frénésie d’achats à une thérapie.
Une utilisation excessive d’Internet
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Se plonger dans un monde virtuel peut faire le même effet qu’une frénésie d’achats, on se coupe momentanément du monde réel pour ne plus penser à ses problèmes et se sentir apaisé. Des études ont ainsi montré qu’il y avait un lien entre dépression sévère et un usage excessif d’Internet. Les personnes ont tendance à surtout consulter des contenus pornographiques, des communautés en ligne et des sites de jeux. Il n’est pas nocif de passer du temps sur Internet, mais si cela occupe quasiment tout votre temps libre, cela peut être un signe de dépression.
Des vols à l’étalage
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Un tiers des voleurs, environ, souffriraient de dépression. Voler peut procurer une sensation de pouvoir et d’importance, ce qui peut pousser certaines personnes dépressives à commettre ces actes. C’est l’acte de voler même, et les sensations qu’il induit, qui est plus important que le butin récupéré. Si vous vous sentez déprimé et ressentez l’envie de voler dans les magasins ou dans les sacs d’autres personnes, n’hésitez pas à en parler à un professionnel de la santé mentale.
Des douleurs au dos
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Dépression et maux de dos peuvent aller de pair. Des études montrent que la dépression pourrait être un facteur de risque au développement de douleurs chroniques dans le bas du dos. Ainsi, 42 % des personnes souffrant de ces maux auraient souffert de dépression avant cela. Mais la réciproque est également vraie, souffrir de maux de dos est un facteur de risque de dépression. L’un peut donc altérer le diagnostic de l’autre.
Une ludomanie
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Traverser une dépression pousse les patients à avoir une pratique compulsive des jeux et paris, tout particulièrement ceux de hasard et d’argent. Une dépendance aux jeux se développe car cela procure des sentiments exaltants. Il est conseillé de veiller à ne pas tomber dans une véritable addiction aux jeux.
Des comportements sexuels à risque
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Tout ce qui peut apporter de la distraction et des sentiments d’excitation, comme le shopping, Internet, les jeux d’argent ou encore l’alcool et le tabac est souvent lié à la dépression. De même, les comportements sexuels à risque ne font pas exception, comme l’infidélité, ou le sexe non protégé.
Les oublis
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Enfin, il n’est pas rare d’avoir une mémoire altérée quand on vit une dépression prolongée. On peut alors oublier des choses ou ressentir un brouillard mental, ce qui est particulièrement vrai pour les personnes âgées dépressives. Heureusement, lorsque la dépression s’arrange, les problèmes de mémoire également.
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