En effet, pour ces messieurs la moyenne serait de 3 à 5 minutes pour atteindre le septième ciel, là où cela prend entre 13 minutes à 1 heure pour la femme. Un décalage entre les deux sexes qui peut s’avérer être un vrai obstacle à l’osmose du couple, puisqu’une fois que l’homme a éjaculé, l'érection devient moins vigoureuse et retombe rapidement ce qui risque de couper court à l’ascension du plaisir chez sa partenaire.
Voilà pourquoi il est utile de savoir reconnaître aussi bien pour l’homme que pour la femme, les signaux de l’arrivée de l’éjaculation. Ils permettent d’adapter le rythme afin de ralentir ou accélérer pour une osmose totale entre les amants.
“Les enquêtes confirment que plus la présence du pénis dans le vagin se prolonge plus sûrement viens l’orgasme féminin”, explique le spécialiste. Pour apprendre à maîtriser son éjaculation, il est donc important d’en connaître les différents stades.
En cas de fellation : certaines femmes sont réticentes à l’idée de pratiquer une fellation à leur partenaire craignant que ce dernier n’atteigne l’orgasme à l’intérieur de leur bouche en déversant sa semence. Tout d’abord il est important d’en parler avec l’amant et s’il est convenu de vous retirer juste avant, il est plus commode et plus rassurant de savoir reconnaître le moment fatidique où l’éjaculation se produit.
L’excitation monte
Tout comme la femme l’homme a besoin de stimulation pour faire monter le plaisir. La première phase avant de l’atteindre c’est l’excitation. Car selon le Dr Gérard Leleu tout est proportionnel, “plus l’excitation croît, plus le plaisir croît”. Pour cela, un seul moyen : un mouvement de va-et-vient le long de la verge, mais plusieurs armes : à l’intérieur du vagin, de la main ou encore de la bouche de sa partenaire. Une fois que cette phase d’excitation est au sommet, l’orgasme et donc l’éjaculation peuvent arriver à tout moment. A ce stade il y a deux choses à repérer :
Le point dit “d’imminence d’éjaculation” : “c’est un phase réversible car si l’homme arrête ses mouvements, l’excitation cesse de croître et l’éjaculation de se produit pas”, explique le spécialiste.
Le point dit de “non retour” : une fois parvenu au point d’imminence précédent si l’homme continue ses mouvements ou si la femme poursuit la stimulation l’excitation continue de monter et se dirige vers la phase suivante du plaisir masculin qui elle est irréversible et mène à l’orgasme.
Des mouvements plus rapides
Une fois le point de non retour, il n'est puls possible de faire machine arrière le plaisir est sur le point d'atteindre son apogée et l'éjaculation de se produire alors mieux vaux reconnaître les signes qui l'annonce notamment si on souhaite l'aider à contrôler son éjaculation pour faire durer le plaisir ou si la partenaire est loin d'être dans cette phase orgasmique. Pour cela il n’y a pas que le pénis qui puisse donner des informations. Le reste du corps de l'homme envoie aussi des signes facile à identifier, pour savoir à quel moment stopper ses gestes si on souhaite qu’il dure plus longtemps ou inversement si on veut le mener plus vite à l'extase.
En pratique : plus l’homme est proche d’atteindre l’extase plus ses mouvements de bassin von accélérer et s’intensifier avec pour envie d’aller chercher le plus plaisir plus loin. On note aussi une “accélération de la respiration qui par ailleurs devient bruyante, des manifestations vocales de plaisir atteignant une grande intensité”, explique le Dr Gérard Leleu, sexologue. Ne vous formalisez pas non plus mesdames si votre partenaire ne se laisse pas aller à des expansions sonores, la plupart des hommes “ont le plaisir muet”,selon le spécialiste.
Une hypersensibilité des testicules
Bien plus souvent cités comme partie intégrante du système reproducteur masculin, on en oublie assez souvent que les testicules permettent également de donner du plaisir à un homme et représentent un bon indicateur que l’extase en en bonne voie. La peau qui les recouvre a une composition très proche des muqueuses. Sa fonction est de protéger les testicules et de les maintenir à une température plus fraîche que celle du reste du corps. La peau est donc bourrée de capteurs sensibles, de corpuscules dont celui de Krause, sensible au froid et au plaisir.
Lorsqu’il est sur le point d’atteindre l’extase et au bord de l’éjaculation, on constate “au cours de la masturbation, l'ascension de l’ensemble bourses-testicules, avec une hypersensibilités des testicules”, écrit el sexologue, ce qui rend les sensations plus aigües et subtiles.
Une contraction et un durcissement de la verge
Une fois la phase de non retour atteinte, si l’homme et sa partenaire décident de poursuivre leurs mouvements de stimulation que ce soit par pénétration, fellation ou masturbation la phase finale celle où l’homme va atteindre le pic de sa jouissance est imminente. La partenaire devrait commencer à constater des signaux de plaisir plus qu’explicite chez son partenaire. Pour entrer dans les détails l’orgasme consiste en un enchaînement de contraction des muscles du périnée : “une toute les 8/10e de seconde , en tout 5 à 15 contractions s’étalant sur 10 à 15 secondes”, explique le Dr Gérard Leleu.
D’un point de vue sensation, “l’homme ressent un plaisir soudain et aigu à la racine de la verge (il correspond à la mise en tension des voies spermatiques et des muscles pubo-coccygien), la verge va se durcir et se redresser encore plus face à la contraction de la prostate, urètre prostatique et canal éjaculateur qui va permettre l'expulsion du sperme sur le point de se faire.
Juste après suivent la phase de détente c’est-à-dire le moment où le plaisir redescend subitement, le corps de l’homme se stoppe et la verge redescend.
Si vous avez l'habitude d'écouter de la musique en même temps que votre téléphone se recharge attention. Le média malaisien Sinar rapporte la cas rare mais tragique de Mohammmed Aidil Azzahar Zaharin, âgé de 16 ans qui serait décédé suite à une éléctrocution alors qu'il dormait avec ses écouteurs connectés à son téléphone, ce dernier lui même branché sur secteur. C'est la mère de la victime en rentrant du travail qui aurait découvert le corps sans vie de son fils, allongé dans son lit, du sang s'écoulant de ses oreilles. Selon le média local, l'autopsie du corps de l'adolescent aurait révélé une brûlure à l'oreille gauche et aucune autre trace de blessure. Le rapport confirme le décès de la victime par électrocution et laisse pensé qu'elle serait provenu du chargeur du téléphone. Le journal britannique Dailymail ajoute quele frère du défunt aurait déclaré avoir senti comme une décharge électrique en touchant le câble du chargeur. Des faits divers qui rappellent aux utilisateurs de téléphone qu'il faut être vigilant lorsque l'appareil est branché.
Un fait qui rappelle notamment la mise en garde de la Direction générale de la concurrence de la consommation et de la répression des fraudes, le 15 octobre 2018, soulignant le décès de plusieurs personnes électrocutés parce que leur corps était mouillé et leur téléphone portable en chargement dans la salle de bains. La DGCCRF explique que "dans un cas, la victime utilisait son téléphone, branché sur le secteur, alors qu’elle était dans sa baignoire. Dans deux autres cas, les victimes étaient en train de brancher le chargeur de leur téléphone, en ayant les mains mouillées et/ou les pieds dans l’eau." Elle note également que les victimes étaient "jeunes et en bonne santé".
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