Au total, 1036 femmes non ménopausées ont dû passer une échographie pour rechercher l'éventuelle présence de fibromes et effectuer une prise de sang pour doser leur taux de vitamine D.
Les chercheurs ont alors observé que les non carencées avaient 32% moins de risques de développer un fibrome utérin. Et plus leur taux de vitamine D était élevé, plus leur risque chutait. Ils ont aussi constaté que celles qui passaient plus d'une heure par jour à l'extérieur avaient 40% moins de risque d'avoir un fibrome. Cela étant lié à l'apport de vitamine D via l'exposition à la lumière.
Pour le Pr Donna Baird, auteur des recherches, "il serait merveilleux que quelque chose d'aussi simple et de peu coûteux que l'exposition quotidienne de la peau au soleil puissent réduire le risque de développer des fibromes."
Etude financée par le National Institute of Environmental Health Sciences, Office of Research on Minority Health, National Institutes of Health, HHS.
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