Diagnostic de Parkinson : vers qui se tourner ?
L’annonce du diagnostic va générer de nombreuses questions, auxquelles il est essentiel d’obtenir rapidement des réponses claires et fiables, afin d’éviter que la période de questionnements et d’angoisses se prolonge inutilement. Dans ce cas, mieux vaut se tourner vers les personnes référentes capables d’apporter une aide ciblée. Les assistantes sociales sont chargées des questions liées aux conséquences pratiques sur la vie quotidienne, comme les aides financières ou le recours à des services à domicile. Les associations de patients sont très utiles pour rencontrer d’autres malades et partager ses inquiétudes. Bien entendu, il est important de s’impliquer dans cette démarche. Dans tous les cas, il faut avant tout éviter l’isolation.
Être attentifs aux signes de déni ou de dépression suite au diagnostic de Parkinson
Même avec un encadrement médical et psychologique adapté, le plus dur reste l’acceptation de la maladie, et celle-ci peut prendre du temps. Aussi est-il important d’être vigilant face aux signes de rejet ou aux réactions de défense, afin de mieux les entendre et les traiter. Parmi les signaux d’alerte, veillez aux attitudes de déni (refus de parler de la maladie, "oubli" des rendez-vous médicaux, refus du changement...) et aux indices qui laissent présager un épisode dépressif (repli sur soi, passivité, laisser-aller...). Il est important de rester positif et actif, de parler de ses angoisses et de continuer à faire des projets.
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