Contraception féminine : ce que dit la loi françaiseIstock

Contraception féminine : les différentes solutions

C’est en 1967 que la pilule contraceptive peut être commercialisée en France grâce à la loi Neuwirth. Par la suite, différents moyens contraceptifs ont été mis sur le marché, permettant aux femmes qui ne désirent pas concevoir de disposer d’une contraception adaptée à leur souhait ou à leur état de santé.

Peu à peu, deux catégories de contraceptifs féminins se sont étoffées, à savoir :

  • la contraception hormonale, avec la pilule contraceptive, le stérilet hormonal, le patch, l’implant et l’anneau contraceptif ;
  • la contraception non hormonale, comme le stérilet (dispositif intra-utérin, ou DIU) non hormonal, la cape cervicale, le préservatif féminin, l’éponge, le diaphragme avec spermicide.

À noter que l’IVG est encadrée par la loi, mais n’est pas un moyen de contraception.

Contraception féminine : la loi n’est pas toujours suivie

La contraception est un moyen légal qui permet de conserver une sexualité active et d’éviter une grossesse. Les moyens ont évolué, et aujourd’hui, un débat est ouvert à propos de la stérilisation volontaire, qui est pourtant autorisée en France depuis 2001 mais encore rarement pratiquée aujourd’hui.

Ce mode de contraception n’est toujours pas accepté par la majorité des médecins, qui refusent catégoriquement cette solution à leurs patientes.

Dans de nombreuses familles, la stérilisation volontaire (féminine et masculine) est encore difficilement acceptable. Dans ce domaine, la France semble accuser un certain retard par rapport à ses voisins anglo-saxons, qui ont adopté depuis longtemps la stérilisation volontaire.

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